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                 Patrice Berger
                                               Aquarelles

 

Diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Arts        1971
Artisan maquettiste pendant 35 ans inscrit à la maison des artistes depuis le 1er janvier   2017
 

Après 35 ans passés à travailler  le volume, c’est tout naturellement, en 2009, que je me suis tourné vers le dessin et la peinture pour changer d’univers.

J’ai appris à dessiner pendant mes études et j’ai continué le dessin tout au long de ma carrière en dialoguant avec mes clients. Mais je n'avais jamais fait de peinture.

Pourquoi avoir choisi l’aquarelle ? Tout d’abord c’est grâce à une amie architecte, Elizabeth Masson qui peint depuis de nombreuses années. Ensuite je suis tombé sur un article de Pratique des Arts consacré à Janine Gallizia. Cet article a été déterminant il m’a remis un crayon à la main et je me suis mis à faire du croquis sur le motif, paysages, rues, musiciens en concert, joueurs de pétanque………..

Mon premier stage, je l’ai fais avec Cao Bei An. Trop « jeune » en aquarelle, je n’en n’ai pas profité. Les deux suivants, magiques !! avec Janine Gallizia. Et le dernier, très instructif avec David Chauvin.

J’essaye maintenant de trouver mon propre style.

duingt  37x 55

Je ne suis pas un coloriste, ma palette est très restreinte. Je recherche par-dessus tout la lumière et les contrastes. L’eau, les reflets, les ciels sont pour moi des sujets de prédilection.

Je ne peins pas sur le motif. Il me faut la quiétude de l’atelier pour être à mon aise. Mais lorsque je voyage, j’ai toujours un carnet de croquis à portée de la main, un stylo à encre de chine et une palette. Je photographie les sujets de mes croquis et quand je n’ai pas le temps de dessiner, les ambiances que je verrais bien en peinture. Puis à l’atelier je fais un tri pour savoir ce que je vais peindre.

J’attache une très grande importance au dessin et souvent le croquis est plus important que l’œuvre peinte car j’y trouve plus de spontanéité. Mon travail est toujours réaliste, je me méfie de l’abstraction.